Suite numérique 1 (IFSI - UIFM) star

L’usage des « suites logiques » est très répandu pour apprécier le même type d’aptitude. Une séquence numérique vous est proposée, puis des modalités de réponse parmi lesquelles vous devez identifier le nombre venant logiquement à la suite de la séquence. Il ne s’agit donc plus d’estimer ce qu’un ensemble a en commun, comme pour l’intrus, mais de découvrir une structure d’ensemble, ou un lien, entre des éléments présentés dans un certain ordre. Pour prendre un exemple élémentaire, après la séquence (1, 2, 3, 4...), et parmi les modalités de réponse (a : 5, b : 12, c : 24, d : 48), il faudra bien sûr choisir a. La logique est celle d’une suite de nombres progressant d’une unité chaque fois. Si on trouve cette question si facile, c’est qu’elle est devenue quasi intuitive car elle correspond à la façon d’apprendre à compter depuis le tout début de nos apprentissages scolaires.

Mais une très légère modification peut tout changer et l’intuition ne nous sera d’aucun secours. Par exemple, prenons la suite (1, 3, 5, 7...). On s’attend à trouver dans les réponses proposées la modalité (9), selon la logique d’une progression par 2 unités. Mais si les modalités proposées sont, par exemple (10, 11, 12, 13), la bonne réponse sera (11) car il s’agit d’une autre logique, celle de la suite des nombres premiers...

Il faut donc apprécier la question en fonction de ses modalités de réponse.