Analyse logique et grammaticale: Distinguez le vrai du faux ! star star star
Distinguez le vrai du faux !
Pour chacun des items suivants, on vous propose cinq affirmations (a, b, c, d, e) parmi lesquelles certaines (une au moins, cinq au plus) sont vraies. Repérez-les en cochant les cases convenables. (Pour valider l’item, il faut cocher toutes les propositions vraies et celles-là seulement).
quizQuestions du QCM
- 1 Dans la phrase : « J’ai trouvé le niveau des candidats moins bas que l’an dernier. »
- 2 Dans la phrase : « Les électeurs n’ont pas jugé incompétentes les quatre ministres. »
- 3 Dans les vers : « Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure »
- 4 L’adjectif « vieux »:
- 5 Dans la phrase : « Aussitôt après que la mère eut couché son enfant, celle-ci se mit à chantonner. »
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- Henri Coulet écrit, dans Le Roman jusqu'à la révolution : « Le réel n'intéresse les romanciers que s'il est vécu par l'homme : ils peignent les passions bien plus que les objets, ils s'attachent beaucoup plus à reconstituer les émotions et les réflexions d'un personnage qu'à construire une intrigue parfaitement cohérente et à en inventer des circonstances rigoureusement possibles ; l'équilibre de l'imagination et de l'observation, qui s'entraident pour obtenir du lecteur l'adhésion lu
- FRANÇAIS - ANALYSE GRAMMATICALE, ANALYSE LOGIQUE DISTINGUER LA NATURE DES MOTS INVARIABLES Comment
- Victor Hugo a pu affirmer : « Le théâtre est le pays du faux, il y a du fard sur la joue, les arbres sont en carton, les bijoux sont en strass.. le théâtre est le pays du vrai, il y a des coeurs sur la scène, il y a des coeurs dans les coulisses, il y a des coeurs dans la salle ». En quoi ce jugement peut-il éclairer votre expérience du théâtre ?
- Rien ne semble plus faux que la maxime socratique : « Connais-toi toi-même. » C'est absurde, on ne se connaît pas soi-même, parce que le fond de soi-même n'est rien, c'est le néant. Le vrai moyen de se connaître serait plutôt : « Oublie-toi. Oublie-toi p
- Chateaubriand a écrit : « Oh ! argent que j'ai tant méprisé et que je ne puis aimer quoi que je fasse, je suis forcé d'avouer pourtant ton mérite : source de la liberté, tu arranges mille choses dans notre existence, où tout est difficile sans toi. Excepté la gloire, que ne peux-tu pas procurer ? Avec toi on est beau, jeune, adoré ; on a considérations, honneurs, qualités, vertus. Vous me direz qu'avec de l'argent on n'a que l'apparence de tout cela : qu'importe si je crois vrai ce qui