LA MORALE ET LA PHILOSOPHIE star star star
Bibliographie
Ameisen J-C., Hervieu-Leger D., Hirsch E., Qu’est-ce que mourir ?, coll. << Le Collège de la Cité >>, éd. Le Pommier, 2003.
Bruckner P., L’Euphorie perpétuelle. Essai sur le devoir de bonheur, coll. << Livre de poche >>, éd. LGF, 2002.
Canto-Sperber M. (dir.), Dictionnaire d’éthique et de philosophie morale, coll. << Quadrige >> éd. PUF, 2004.
Dupuy J.-P., Petite métaphysique des tsunamis, coll. << Débats >>, éd. du Seuil, 2005.
Ferry L., Vincent J.-D., Qu’est-ce que l’homme ?, coll. << Poches Odile Jacob >>, éd. Odile Jacob, 2001.
Onfray M., La Philosophie féroce, coll. << Débats >>, éd. Galilée, 2004.
Ameisen J-C., Hervieu-Leger D., Hirsch E., Qu’est-ce que mourir ?, coll. << Le Collège de la Cité >>, éd. Le Pommier, 2003.
Bruckner P., L’Euphorie perpétuelle. Essai sur le devoir de bonheur, coll. << Livre de poche >>, éd. LGF, 2002.
Canto-Sperber M. (dir.), Dictionnaire d’éthique et de philosophie morale, coll. << Quadrige >> éd. PUF, 2004.
Dupuy J.-P., Petite métaphysique des tsunamis, coll. << Débats >>, éd. du Seuil, 2005.
Ferry L., Vincent J.-D., Qu’est-ce que l’homme ?, coll. << Poches Odile Jacob >>, éd. Odile Jacob, 2001.
Onfray M., La Philosophie féroce, coll. << Débats >>, éd. Galilée, 2004.
quizQuestions du QCM
- 1 Morale et philosophie. Dans le langage courant, l’éthique (du grec ethos, << habitude >>) et la morale (du latin mores, << les mœurs >>) désignent la même chose :
- 2 Morale et philosophie. Quel est le nom du philosophe stoïcien qui, dans cette Lettre à Lucilius, critique la puissance de l’opinion de la foule : << Tu demandes ce qu’à mon avis il faut tout d’abord éviter ? La foule. Tu n’es pas encore en mesure de t’y risquer sans péril. Pour moi, du moins, j’avouerai ma faiblesse. Jamais je ne regagne mon logis avec le même caractère qu’au départ. Quelque chose est dérangé de mon équilibre intérieur ; quelque tentation bannie reparaît. [ ...] De manière générale, plus grande est la masse de gens à laquelle nous nous mêlons, plus il y a de danger. [ ...] On passe facilement du côté du plus grand nombre. >>
- 3 Morale et philosophie ; la philosophie antique. On raconte plusieurs anecdotes sur ce philosophe grec cynique : il lança à Alexandre le Grand, du fond de son tonneau : << Ôte-toi de mon soleil >>, chercha en plein jour avec sa lanterne des hommes sans en trouver et, un jour, au marché, se masturba en s’exclamant : << Ah ! si seulement on pouvait apaiser sa faim en se frottant ainsi l’estomac ! >>. Il s’agit de...
- 4 Morale et philosophie ; la recherche du bonheur. Quel est l’auteur humaniste, invitant à jouir du charme tragique et éphémère de la vie, qui a écrit : « Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors ; et quand je me promène solitairement en un beau verger, si mes pensées se sont entretenues des occurrences étrangères quelque partie du temps, quelque autre partie je les ramène à la promenade, au verger, à la douceur de cette solitude et à moi. [...] Nous sommes de grands fous : “Il a passé sa vie en oisiveté, disons-nous ; je n’ai rien fait aujourd’hui. - Quoi, n’avez-vous pas vécu ? C’est non seulement la fondamentale, mais la plus illustre de vos occupations”. »
- 5 Morale et philosophie ; la recherche du bonheur. Notre société propose plusieurs modèles de vie heureuse, de bonheur. À travers certains films (Le bonheur est dans le pré d’É. Chatiliez, 1987, Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain de J.-P. Jeunet, 2001) ou romans (La Première Gorgée de bière de P. Delerm, 1997), est proposée une vision du bonheur. .. (une réponse)
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- Malraux cherche dans ses récits à faire réagir son lecteur, à l'obliger à prendre parti au nom d'une conception de la vie et de la morale. Homme d'action, Malraux écrit comme il vit, transmet les interrogations brûlantes qu'il se pose et qu'il tente de résoudre, non pas par la seule réflexion, mais par la participation directe à l'histoire en mouvement. L'idée que Malraux se fait de son rôle d'homme et de témoin est à la base de sa philosophie héroïque, qui exige que l'on vive dangere
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- CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvrirait une nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funestes effets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nous avons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toute morale à quinze ans, toute se