Handicap star
Les jeunes handicapés et leurs intégration
• Plan en deux parties : handicaps mentaux, handicaps physiques
Si le sujet précise qu’il s’agit de jeunes, il n’indique pas en revanche de distinctions entre les différents handicaps. Il faut donc considérer d’une part le handicap mental et d’autre part le handicap physique, sans oublier le lien éventuel entre ces infirmités selon la pathologie. Le «et» oriente l’exposé vers deux sous-parties : 1) définition du handicap 2) intégration des jeunes.
Handicaps mentaux. Ainsi selon une classification classique, les retards mentaux s’appellent déficiences et non plus débilités.
De naissance ou consécutives à des maladies ou accidents (traumatismes crâniens) ces atteintes se définissent essentiellement en comparaison à la moyenne du même âge en terme de possibilités intellectuelles (cf. introduction) et s’accompagnent fréquemment de troubles caractériels liés à la réaction de l’entourage. L’intégration varie donc selon la gravité du retard et les possibilités que le jeune a d’établir une communication avec d’autres enfants. Si la scolarisation est souvent bénéfique et envisageable en maternelle, elle devra presque toujours se faire en classe ou en établissement spécialisé dès l’élémentaire.
Handicaps physiques. Parmi les handicaps physiques on distingue habituellement les atteintes sensorielles des troubles de la motricité : surdité et non voyance d’une part, paralysies, agnosie et autres infirmités d’autre part.
Le retard verbal et par conséquent intellectuel du jeune sourd est comblé en partie par l’apprentissage de la lecture labiale et du langage gestuel. Ceci suppose donc une scolarisation particulière en établissement spécialisé. Parmi ces jeunes la solidarité est forte et le réseau d’intégration dans la vie professionnelle assez satisfaisant; l’accès à certains métiers leur est traditionnellement facilité : horticulture, menuiserie, prothèse dentaire entre autres.
La cécité se définit en pourcentage de la vision normale ; il existe donc un seuil au dessous duquel on est déclaré aveugle ou encore non voyant. En réaction à certaines attitudes trop compatissantes (pitié) beaucoup de jeunes non voyants voudront cacher leur handicap et passer inaperçus ; cela facilite naturellement leur intégration. Les premières années d’écoles leur donnent une éducation par petit groupe; on y apprend en particulier le braille et comment être autonome dans le quotidien. A côté de ces structures, plusieurs collèges et lycées accueillent également ces jeunes en milieu dit « normal ».
Le développement de perceptions comme le toucher et l’ouïe oriente traditionnellement un certain nombre de jeunes aveugles vers les métiers de la kinésithérapie et de la musique ou du son.
Plus fréquemment que pour les autres handicaps les atteintes psychomotrices sont d’origine accidentelle.
Les progrès de la médecine, de la chirurgie en particulier, et des nouvelles technologies donnent beaucoup d’espoir pour l’avenir. Cependant les statistiques d’accidents domestiques, de la circulation et en particulier des deux roues nous obligent à intensifier notre action préventive et éducative.
Conclusion. Quelques grands hôpitaux et les centres pédiatriques possèdent des écoles, mais de gros efforts restent à faire pour accueillir ces enfants en scolarité normale. Cela suppose des investissements en matériel, construction et également en formation d’enseignants. L’École doit en effet montrer l’exemple pour que l’intégration des futurs adultes soit possible et facilitée et que les mentalités évoluent.
• Plan en deux parties : handicaps mentaux, handicaps physiques
Si le sujet précise qu’il s’agit de jeunes, il n’indique pas en revanche de distinctions entre les différents handicaps. Il faut donc considérer d’une part le handicap mental et d’autre part le handicap physique, sans oublier le lien éventuel entre ces infirmités selon la pathologie. Le «et» oriente l’exposé vers deux sous-parties : 1) définition du handicap 2) intégration des jeunes.
Handicaps mentaux. Ainsi selon une classification classique, les retards mentaux s’appellent déficiences et non plus débilités.
De naissance ou consécutives à des maladies ou accidents (traumatismes crâniens) ces atteintes se définissent essentiellement en comparaison à la moyenne du même âge en terme de possibilités intellectuelles (cf. introduction) et s’accompagnent fréquemment de troubles caractériels liés à la réaction de l’entourage. L’intégration varie donc selon la gravité du retard et les possibilités que le jeune a d’établir une communication avec d’autres enfants. Si la scolarisation est souvent bénéfique et envisageable en maternelle, elle devra presque toujours se faire en classe ou en établissement spécialisé dès l’élémentaire.
Handicaps physiques. Parmi les handicaps physiques on distingue habituellement les atteintes sensorielles des troubles de la motricité : surdité et non voyance d’une part, paralysies, agnosie et autres infirmités d’autre part.
Le retard verbal et par conséquent intellectuel du jeune sourd est comblé en partie par l’apprentissage de la lecture labiale et du langage gestuel. Ceci suppose donc une scolarisation particulière en établissement spécialisé. Parmi ces jeunes la solidarité est forte et le réseau d’intégration dans la vie professionnelle assez satisfaisant; l’accès à certains métiers leur est traditionnellement facilité : horticulture, menuiserie, prothèse dentaire entre autres.
La cécité se définit en pourcentage de la vision normale ; il existe donc un seuil au dessous duquel on est déclaré aveugle ou encore non voyant. En réaction à certaines attitudes trop compatissantes (pitié) beaucoup de jeunes non voyants voudront cacher leur handicap et passer inaperçus ; cela facilite naturellement leur intégration. Les premières années d’écoles leur donnent une éducation par petit groupe; on y apprend en particulier le braille et comment être autonome dans le quotidien. A côté de ces structures, plusieurs collèges et lycées accueillent également ces jeunes en milieu dit « normal ».
Le développement de perceptions comme le toucher et l’ouïe oriente traditionnellement un certain nombre de jeunes aveugles vers les métiers de la kinésithérapie et de la musique ou du son.
Plus fréquemment que pour les autres handicaps les atteintes psychomotrices sont d’origine accidentelle.
Les progrès de la médecine, de la chirurgie en particulier, et des nouvelles technologies donnent beaucoup d’espoir pour l’avenir. Cependant les statistiques d’accidents domestiques, de la circulation et en particulier des deux roues nous obligent à intensifier notre action préventive et éducative.
Conclusion. Quelques grands hôpitaux et les centres pédiatriques possèdent des écoles, mais de gros efforts restent à faire pour accueillir ces enfants en scolarité normale. Cela suppose des investissements en matériel, construction et également en formation d’enseignants. L’École doit en effet montrer l’exemple pour que l’intégration des futurs adultes soit possible et facilitée et que les mentalités évoluent.
quizQuestions du QCM
- 1 Le handicap, dans le domaine de la santé, se définit par :
- 2 Le handicap en France est assimilé sur le plan social à:
- 3 Au niveau de la législation française, le handicap peut être:
- 4 Le nombre de personnes handicapées en France (adultes et enfants) est égal à :
- 5 Les handicaps sont :
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